Jetant ce matin un œil dans le « placard à café » du bureau, j’ai eu la surprise de constater qu’une boîte de café soluble ramenée directement de Côte d’Ivoire par la valise diplomatique il y a quatre mois était encore presque pleine.
Renseignements pris, on m’a expliqué qu’il était trop fort au goût des buveuses de café de l’équipe.
Alors que pour ma part, je trouve qu’il a bien meilleur goût que le café soluble qu’on peut se procurer en métropole.
Du coup, je vais peut-être me remettre à boire du caoua : ce serait quand même dommage de gâcher de la bonne marchandise !