Reign of Steel

Demain ou après-demain, la guerre « conventionnelle » se fera à grands coups de robots.
Et on est déjà pas mal avancé en la matière, comme le prouvent les vidéos enchâssées dans cette page.
Quelque part, les deux dernières me font un peu froid dans le dos (je crois que c’est surtout le moment où le robot se relève, vers la fin de la deuxième, qui a quelque chose de particulier).

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4 réponses à Reign of Steel

  1. Fout' la merde dit :

    Arf, tu découvres ça seulement maintenant ? Et alors, où en est maintenant ta fameuse théorie selon laquelle les robots de combat avec des jambes comme dans l’Empire contre-attaque c’est n’importe quoi … ?

    • Imaginos dit :

      Non, je ne découvre pas ça seulement maintenant, ça date des années ’60 ou ’70 quand la NASA développait un véhicule quadrupède pour l’exploration lunaire ou martienne, j’ai oublié les détails depuis. Je découvre simplement où en est l’état actuel du domaine.

      Et ma « théorie » comme tu dis, qui n’en est pas une, mais bien la constatation de la réalité la plus banale, reste inchangée : les mécas humanoïdes et autre bipèdes instables, même sans centre de gravité démesurément élevé comme dans le retour du jedi (et non l’empire contre-attaque), sont une aberration qui ne peut fonctionner qu’au cinéma (ou à un niveau technologique tellement élevé qu’ils en seraient obsolètes).
      Tu remarqueras que le robot développé ici, comme le véhicule de la NASA, a quatre pattes, et non deux…

      • Miod dit :

        Les chercheurs en robotique un tant soit peu sérieux savent bien que les robots humanoïdes sont extrêmement fragiles et ne sont pas capable de se sortir de certaines situations (escaliers aux marches trop hautes, chutes dans certaines positions).

        Mais la majeure partie du financement de la recherche civile en robotique vient d’entreprises japonaises, qui souhaitent développer des robots pour aider les personnes âgées (la culture japonaise s’opposant au recrutement d’auxiliaires médicaux d’origine étrangère pour pallier le manque de personnel médical par rapport au nombre de personnes âgées), et pousse en faveur de robots humanoïdes (mais de petite taille pour conserver un centre de gravité plus bas… mais pas assez bas pour être stable à toute épreuve).

        [Je tiens tout ça d’un ami chercheur en robotique au LAAS (CNRS) de Toulouse depuis plus de vingt ans, et qui s’est retouvé embarqué dans les partenariats de recherche avec les entreprises japonaises…]

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