Défi 2014 : scénario n° 39 : BIS repetit attentats

Scénario pour Traveller.

Ce scénario se déroule dans les Marches Directes, pendant la Cinquième Guerre Frontalière.

Les références 101R renvoient à 101 Robots ; Adv1 à l’Adventure 1 : The Kinunir ; GTFI à GURPS Traveller : First In ; JTAS aux numéros du Journal of the Travellers’ Aid Society ; RS au Regency Sourcebook ; et SMC à The Spinward Marches Campaign.

Si vous êtes censés participer à ce scénario en tant que joueurs, ne lisez pas plus loin…

Ah, c’est la guerre ? ! !

Ce scénario débute sur Regina (Marches Directes / Regina 1910), peu après le 268-1107, alors que l’amiral de secteur Frederick Santanocheev est le commandant en chef des forces impériales engagées dans la Cinquième Guerre Frontalière. Les personnages, bien que plutôt patriotes impériaux, n’ont pas été mobilisés dans les forces régulières, mais ils se sont retrouvés liés (peut-être déjà avant la guerre) au service secret du duc de Regina, Norris Aella Aledon, pour lequel ils ont accompli quelques missions, mineures (transports, etc…) ou non. Le scénario pourrait à peu près fonctionner pour des personnages appartenant au Renseignement Stellaire (Naval Intelligence : le service de renseignement de la Stellaire), mais cela nécessitera quelques ajustements mineurs.

La guerre, qui dure depuis environ trois mois, semble tourner plutôt à l’avantage des Zhodani, et Norris, qui considère depuis longtemps Santanocheev comme un incapable, et avait avant même l’ouverture des hostilités demandé à l’empereur Strephon d’être nommé commandant en chef à sa place, s’impatiente de plus en plus devant l’incompétence de l’amiral, dont il craint qu’elle n’aboutisse tôt ou tard à la défaite de l’Imperium.
En fait, Strephon n’a pas complètement accédé à la requête du duc : il a envoyé vers les Marches un nouvel amiral, Tilbur Rapsirgii, pour relever Santanocheev. Mais le Scandiffino, croiseur de classe Sarmonocci à bord duquel celui-ci voyageait vers les Marches Directes (d’abord vers Mora (Marches Directes / Mora 3124), puis, ayant appris en route le déclenchement des hostilités, en se déroutant directement vers Regina), a été attaqué par un croiseur zhodani alors qu’il se trouvait dans le système d’Algine (Marches Directes / Regina 2308). Gravement endommagé par les tirs ennemis, le croiseur impérial, en tentant de lui échapper, a fini par s’écraser sur Algine elle-même.
Quelques temps plus tard, Norris a eu vent d’un envoi important que Strephon lui avait expédié par croiseur. S’attendant à recevoir de l’empereur un édit lui confiant le poste de commandant en chef, le duc a fait le rapprochement avec la nouvelle (rapportée par les forces chargées d’y maintenir l’interdit, qui n’avaient pu intervenir à temps mais avaient réussi à mettre en fuite le maraudeur zhodani, déjà bien endommagé par son affrontement avec le Scandiffino) selon laquelle un croiseur avait été abattu sur Algine. Persuadé à tort que le précieux document se trouvait à bord, il organise une expédition secrète vers l’épave pour l’y récupérer (SMC p 16). Les personnages sont bien entendu du voyage.

Mensonge d’état

Le 212-1107, Branj Dilgaadin, le sénéchal de Norris, a annoncé que ce dernier était atteint d’une pneumonie virale (JTAS 10 p 5, JTAS 19 p 27). Cette déclaration, qui vise à faire cesser les rumeurs persistantes sur l’état de santé du duc, est fausse : il n’est pas malade, il a été victime d’un accident d’aéromobile. L’appareil à bord duquel il circulait avait été saboté. Son chauffeur est mort dans l’accident, et lui-même a été polytraumatisé, mais ses jours ne sont pas en danger, et la chirurgie impériale a facilement réparé ses blessures. Une fois autorisé à sortir de l’hôpital, Norris a quitté Corona, siège de l’autorité ducale sur Regina, pour passer sa convalescence au calme dans son manoir sur l’île de Caranda, la propriété ducale.
L’attentat était le fait d’agents du BIS, le Bureau de l’Information Stellaire (Office of Naval Information, SMC p 11), le service de renseignement mis sur place par l’amiral Santanocheev pour supplanter le Renseignement Stellaire, le service de renseignement « normal » de la Stellaire. Le BIS surveille discrètement les activités du duc via certaines personnes de son entourage, et voyant qu’il se met activement à chercher un moyen d’écarter l’actuel commandant en chef, quelqu’un en son sein a pris l’initiative de mener une opération pour éliminer cette menace, sans en référer à l’amiral lui-même (qui, bien que n’appréciant pas du tout Norris, serait certainement horrifié s’il apprenait ce que trament ses agents).

Destination Algine

Outre le duc (à peu près remis de son accident, même s’il n’est pas encore en pleine possession de ses moyens physiques) et les personnages, prennent part à l’opération au moins trois gardes du corps de Norris (certains peuvent être des PJ) et l’équipage du vaisseau spatial à bord duquel tout ce petit monde prend place (et qui peut là aussi être au moins partiellement composé de PJ) : l’Équoïde, un escorteur de classe Gazelle, pourvu de réservoirs amovibles qui lui permettent de faire l’aller-retour depuis Regina sans avoir besoin de ravitailler (ce qui réduit d’autant les risques de se faire repérer par les vaisseaux stationnés dans le système d’Algine (un croiseur de classe Kinunir et plusieurs Gazelle). Dans l’idéal, le commandant en second de l’expédition est l’un des personnages. Selon le nombre de PNJ présents à son bord, l’Équoïde pourrait rapidement se trouver surpeuplé…

Non seulement la planète Algine est placée sous interdit (pour protéger des interférences extérieures le développement de la civilisation locale), mais elle fait en plus partie des mondes sur lesquels l’amiral Santanocheev a spécifiquement défendu qu’on atterrisse dans sa proclamation n° 46 de 268-1107 (JTAS 11 p 5, JTAS 19 p 28). Si l’expédition était découverte par les forces chargées de maintenir l’interdit, le duc risquerait d’y laisser sa couronne (et perdrait en tous cas dans le scandale qui s’ensuivrait toute chance de supplanter Santanocheev) : il insistera donc fortement lors du briefing sur la nécessité absolue de ne pas se faire prendre.

Algine est décrite dans GTFI pp 141/142. Habitée par les descendants de colons solomani arrivés sur la planète vers -1000 à bord d’un vaisseau à générations, elle est balkanisée, avec un niveau technologique maximum de 4 (équivalent d’un TL 5 à GURPS 3).

Le premier problème auquel devront faire face les personnages dès leur arrivée dans le système est d’échapper à la détection par les vaisseaux de la Stellaire qui sont chargés de faire respecter l’interdit (et sont d’autant plus sur le qui-vive qu’on est en guerre et qu’il y a déjà eu des intrusions zhodanies, dont celle qui a causé la perte du Scandiffino). Atteindre Algine sera particulièrement délicat, et il y a toujours au moins un escorteur Gazelle en orbite autour de la planète. Le reste des vaisseaux en faction dans le système se répartit en principe à proximité des trois géantes gazeuses, qui sont des points stratégiques en principe plus proches des points d’émergence des vaisseaux arrivant ici que ne l’est Algine elle-même.
Une fois sur Algine, immerger rapidement l’Équoïde au fond d’un lac, d’une mer ou d’un océan, devrait lui permettre d’échapper durablement à la détection.
Pour repérer le lieu du crash, les personnages devront, soit recourir à une sonde placée en orbite (et qui devra elle aussi éviter d’être détectée, ce qui sera en principe beaucoup plus facile que pour le vaisseau lui-même), soit contacter les autochtones en espérant qu’ils puissent leur fournir l’information (ce qui risque de durer longtemps). Maintenir l’Équoïde en orbite le temps de détecter l’endroit où se trouve l’épave serait chercher à se faire remarquer par l’escorteur en faction.

L’impact a dû être terrible

Le Scandiffino s’est écrasé dans une région montagneuse peu peuplée (par rapport au reste de la planète) et particulièrement difficile d’accès. Une fois l’emplacement repéré, les personnages peuvent y accéder, soit en utilisant des moyens modernes tels qu’une aéromobile (qui risque d’être détectée si jamais l’escorteur en orbite autour d’Algine braquait ses détecteurs sur le mauvais endroit de la surface de la planète au mauvais moment ; un risque mesuré que les personnages pourraient accepter de courir), soit en recourant à des méthodes plus primitives, plus discrètes mais beaucoup plus lentes (qui impliqueront probablement de se mêler aux populations locales et de recourir à des guides, et peut-être aussi à des porteurs).

L’épave s’est disloquée en plusieurs morceaux, éparpillés sur une grande étendue. Bien que la plupart des débris soient de petite taille, quelques éléments plus gros subsistent, dont certains portent des traces d’incendie. Il n’y a bien entendu aucun survivant, les restes humains qui n’ont pas été mangés par des charognards ne permettent même pas d’identifier visuellement les victimes, et retrouver d’éventuels documents tient de la gageure (d’autant que Norris, qui mène les fouilles, reste très évasif sur la nature précise de ce qu’il recherche).
Le succès ou l’échec de la mission des personnages dépendra des intentions du MJ pour la suite : soit (solution de facilité que nous exclurons par principe pour la suite du présent scénario) ils découvrent dans les décombres de l’appareil un mandat impérial permettant à Norris de s’autoproclamer commandant en chef de la Stellaire pour le secteur des Marches Directes ; soit ils découvrent des documents annonçant la nomination à ce poste de l’amiral Rapsirgii, mais pas de mandat, et le duc devra en trouver un ailleurs ; soit aucun document n’a été récupéré parmi les débris du Scandiffino, et on en revient pour Norris au cas précédent.

La cavalerie arrive !

Pendant que les personnages furètent dans les débris du croiseur, un petit commando de troupes de marine en scaphandre de combat arrive sur les lieux. Il a été largué depuis l’orbite par un escorteur de classe Gazelle, le Benny Bronco, appartenant au BIS (là encore, il s’agit d’une initiative prise sans en informer l’amiral Santanocheev).
Les personnages et leurs compagnons n’ont aucune chance face à des soldats entraînés en armure. Mais ces derniers se montrent un peu trop sûrs d’eux et de l’infériorité de leurs adversaires, et si les aventuriers réussissent à se réfugier dans l’un des éléments les moins endommagés de l’épave et à y trouver quelques armes capables de venir à bout du blindage d’un scaphandre de combat, ils ont une chance de l’emporter. Ceci fait, il leur faudra rejoindre au plus vite l’Équoïde pour regagner la sécurité de Regina.

Lorsque les personnages quitteront Algine, poursuivis par le Benny Bronco (qu’ils pourront identifier), ils seront repérés par l’escorteur en orbite autour de la planète, qui tirera un coup de semonce en leur ordonnant de stopper, et donnera s’ils n’obtempèrent pas l’alerte aux autres vaisseaux de la Stellaire présents dans le système. L’Équoïde, n’étant pas de taille, devra s’éloigner au plus vite de l’étoile pour pouvoir sauter en direction de Regina.
Les aventuriers pourraient aussi décider de ne pas courir le risque de se faire tirer dessus, et se laisser capturer. Les conséquences politiques pour le duc Norris seraient catastrophiques (et par contrecoup, le déroulement de la guerre serait bouleversé et tournerait probablement en défaveur de l’Imperium).

À noter que le Benny Bronco, appartenant au BIS, est ici en mission secrète et a violé l’interdit ; il sera lui aussi pris à partie par les vaisseaux en faction dans le système, et un échange de tirs s’ensuivra, qui facilitera sans doute la fuite de l’Équoïde.

DéBIStage

De retour à Caranda, les personnages sont chargés par Norris de se renseigner sur le Benny Bronco et sa présence dans le système d’Algine : le fait qu’il ait été pris à partie par les forces locales semble clairement indiquer que sa présence là-bas n’était pas autorisée, et le duc aimerait bien savoir qui a essayé de lui mettre des bâtons dans les roues : comme s’il n’avait pas déjà assez de soucis avec les Zhodani et l’incompétence de Santanocheev !
Flottes de combat impériales, l’ouvrage de référence sur les vaisseaux de la Stellaire, ne mentionne effectivement pas le Benny Bronco parmi les appareils en faction à Algine ; mais ce recueil n’est pas exhaustif en ce qui concerne de si petits vaisseaux. Par contre, en faisant appel à des contacts au sein du Renseignement Stellaire, les aventuriers peuvent apprendre que l’escorteur « appartient » au BIS. De là à soupçonner que ce service de renseignement inféodé à Santanocheev espionne les faits et gestes du duc et cherche à l’assassiner, il n’y a qu’un pas que tout personnage normalement paranoïaque devrait instinctivement franchir.
Mais comme Norris s’est retiré dans sa propriété de Caranda suite à son accident (donc avant la décision de mener l’expédition sur Algine), cela signifie probablement qu’il y a une taupe dans la place.

Les principaux suspects sont les personnes qui étaient au courant de l’expédition d’Algine, c’est-à-dire peu de monde : outre ceux qui ont pris part à l’opération, il y avait Branj Dilgaadin, le sénéchal de Norris, dont il est également l’amant (cette liaison est soigneusement tenue secrète, mais le proche entourage du duc ne peut manquer de s’en rendre compte tôt ou tard) ; les membres de son état-major personnel ; Maudeline Cory, la chef de son propre service secret ; et le conseiller spécial qui écrit ses discours, Tashal Barazirgii. Tous (à part peut-être les personnages) semblent fanatiquement loyaux au duc et sont peu susceptibles de l’avoir trahi.

Le service secret du duc a les moyens de surveiller les communications et flux de données entrant et sortant de la propriété de Norris. La tâche n’est pas simple, mais avec l’aide d’un collègue analyste, les personnages peuvent découvrir que des échanges informatiques ponctuels ont lieu depuis un poste mobile (probablement un ordinateur personnel, comme en possèdent au moins un chacun des occupants du manoir) avec la base de la Stellaire située au spatioport de Credo. Les données sont fortement cryptées, mais en recoupant les données en leur possession (heure des émissions, emplacement de l’émetteur-récepteur), ils devraient très vite porter leurs soupçons sur l’enseigne de vaisseau de première classe Satomi Barazirgii, officier de réserve du service technique de la Stellaire, mobilisée suite à la déclaration de guerre et détachée auprès du duc (elle est chargée des contre-mesures électroniques, permettant entre autres de protéger le manoir en cas d’attaque et d’assurer la sécurité de ses télécommunications). Surprise : elle ne faisait pas partie des suspects initiaux.
S’en prendre à Satomi Barazirgii est délicat pour les personnages : elle est la sœur chérie de Tashal Barazirgii (c’est d’ailleurs lui qui lui a parlé, tout à fait innocemment, de l’expédition d’Algine). Or ce dernier est très en faveur auprès de Norris, au point que certains se demandent en privé s’il ne va pas supplanter Branj Dilgaadin et devenir le nouvel amant du duc.
Pour cette raison, Maudeline Cory refusera de couvrir les aventuriers en cas d’initiative de leur part. Consciente du problème, elle demandera néanmoins à ses subordonnés (si elle est informée) de surveiller discrètement la suspecte, d’éviter qu’elle ne soit en contact avec le duc, et de décrypter les données échangées (mais le code employé résistera à toutes les tentatives pour le briser).
Enquêter sur Satomi Barazirgii sera difficile depuis le manoir ducal. Des personnages ayant des entrées au sein du Renseignement Stellaire pourraient peut-être établir de fortes présomptions pour qu’elle appartienne au BIS (ce qui est effectivement le cas : c’est bien elle le traître qu’ils recherchent, c’est elle qui a saboté l’aéroglisseur de Norris et prévenu le BIS de son escapade sur Algine).

BIS cuit

Le 300 ou 301-1107, Satomi Barazirgii réussira à provoquer un nouvel attentat contre Norris. Elle emploiera pour ce faire un robot jardinier (par exemple un orchard agrobot (101R p 7) ou un modèle proche : une sphère antigrav, dotée de trois tentacules lui permettant de tailler les branches ou de cueillir les fruits, et pourvue d’une soute dans laquelle elle peut transporter sa récolte). Le robot, dont la programmation a été trafiquée par la traîtresse et dans la soute duquel ont été placés quarante kilos d’explosifs (tout cela ayant si nécessaire eu lieu avant que l’enseigne de vaisseau ne soit placée sous surveillance), s’approchera du duc alors qu’il se promène dans un verger en compagnie d’autres personnes (parmi lesquelles Tashal Barazirgii), et lorsqu’il se trouvera suffisamment proche de sa cible, fera exploser sa charge. Par chance, le robot aura mal évalué la distance le séparant de Norris et se fera sauter un peu trop loin. Le duc ne sera que grièvement blessé, mais son conseiller spécial sera tué. Si des personnages se trouvaient en leur compagnie, il est probable qu’ils seront eux aussi blessés.
L’attentat sera immédiatement suivi de l’envoi par Satomi Barazirgii d’un très bref message vers la base stellaire. Très rapidement après, les médias de Regina recevront un communiqué officiel annonçant la mort du duc (communiqué émis par le BIS). Bien qu’aucune précision n’y soit fournie, certains médias croiront pertinent de faire le rapprochement avec les précédentes déclarations sur la santé de Norris, et annonceront qu’il a succombé à une infection pulmonaire. Dans un premier temps, la maison ducale refusera de commenter ces affirmations, avant de leur opposer un démenti catégorique le 302-1107 (JTAS 12 p 5, JTAS 19 p 28).
Mais en attendant, la mort de Tashal Barazirgii lève l’obstacle à l’arrestation de sa sœur, et en voyant son cadavre, les personnages devraient réagir rapidement. Satomi Barazirgii ne se laissera pas capturer vivante, et elle sera assistée par un complice, Mazun Bamasmur, autre officier de réserve appartenant au BIS et placé dans l’entourage de Norris (comme officier de liaison avec la Stellaire). Les aventuriers devront probablement les éliminer au terme d’une fusillade acharnée, alors que, se voyant découverts (et croyant leur mission accomplie), ils tentent de fuir le manoir.

Épilogue

Dans la foulée de l’attentat et de la mort des deux traîtres, le service secret ducal, en coordination avec le Renseignement Stellaire, procédera à l’élimination d’un certain nombre d’éléments « incontrôlables » du BIS dans l’entourage de Norris, à Corona, et à la base stellaire de Regina.
Rapidement pris en charge médicalement, le duc sera opéré à l’infirmerie du manoir. Il lui faudra plusieurs mois pour revenir en pleine possession de ses moyens physiques. Ses facultés intellectuelles par contre resteront intactes et toujours aussi aiguisées.

N’ayant pu mettre la main sur un mandat impérial dans l’épave d’Algine, le duc Norris, après avoir soigneusement poussé ses pions sur l’échiquier militaro-politique, se résoudra finalement à utiliser pour destituer Santanocheev et prendre sa place (le 132-1109) (JTAS 17 p 4, JTAS 19 pp 31/32) un mandat impérial trouvé dans le croiseur Kinunir, échoué dans la ceinture de Shionthy (Marches Directes / Regina 2306) (Adv1 p 22, RS p 39) et qui lui avait alors été remis par le groupe d’aventuriers ayant découvert l’épave (peut-être les personnages eux-mêmes ? S’ils n’ont pas découvert le Kinunir et s’il est encore suffisamment tôt par rapport à l’échéance de 132-1109, vous pouvez éventuellement leur faire jouer ce nouveau scénario…).

Ce contenu a été publié dans JdR, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *